
Crédit : Manu Peignelin & – Polymorphose

Crédit : Manu Peignelin & – Polymorphose
Scène Cèdres Horaires : 20h30
Fusion Didg / Afrique
France
Losso Keïta – (Chant, N’goni, Percussions) 
Eliah Jasper – (Didjeridoo, Flûte)
Sékouba Koïta – (Guitare, Chœur)
Chaîne Youtube Yélé
Chaîne Spotify
Page Officielle Facebook

Yelé (lumière en bambara) est un trio unique et atypique, délivrant un groove implacable. N’Goni, Didjeridoo, et Guitare surfent sans concession entre différents genres. Une musique « sang mêlé » au service d’une voix généreuse sublimant la richesse des musiques du monde.
Si les messages et les valeurs que véhicule le groupe sont dans la lignée des traditions griotiques, leurs compositions se veulent universelles et piétinent allègrement les frontières des genres.
Chers festivaliers, chères festivalières,
Avant d’annoncer la date d’ouverture de la billetterie, il nous semblait important de vous parler de l’augmentation du prix des entrées. Le pass sera également payant pour les enfants de 6 ans à 15 ans inclus.
Le Rêve de l’Aborigène est une association loi 1901 à but non lucratif majoritairement soutenue par des bénévoles (+ de 75% de l’activité) . Depuis plusieurs années, jusqu’à 2019, notre modèle économique était stable (budget et prix des places constants) mais la conjoncture actuelle a bouleversé ces données. Afin que l’évènement reste pérenne, tant financièrement qu’humainement, l’augmentation des pass était devenue inévitable. Ces hausses reposent donc exclusivement sur un certain nombre de faits et de partis pris.
Nous espérons malgré ces hausses tarifaires vous voir aussi nombreux·ses sur la plaine de Soulièvre cet été.
Scène Cèdres à 22h45
Ce projet est la rencontre de 3 musiciens aux multiples facettes. Ensemble ils ont créé un son unique combinant leurs influences musicales et leurs instruments de différentes parties du monde. Ainsi se mêlent diverses langues et cultures afin de créer un style original, tantôt vibrant et dansant ou chargé de mélodies profondes et contemplatives.
« Tandava » se nourrit du vécu de chacun de ces membres ainsi que de leurs recherches au cœur de diverses traditions ancestrales telles que le chant classique indien, la musique aborigène australienne, la musique soufie du Moyen-Orient, le choro brésilien, etc.
Nous vivons à une époque où la musique électronique tire beaucoup d’influences de la musique du monde, mais elle perd de son identité lorsqu’elle n’est pas jouée
sur de véritables instruments. Tandava souhaite mettre en pratique cette idée, faire sonner ses chansons comme de la musique de danse, mais tout en la partageant humainement, avec ses instruments.
Scène Platanes à 00h15
France

Après 3 ans de recherches sur les arcs en bouche, Christopher a mis au point le Cosmicbow (en 2008). La musique qui en est sortie l’a bouleversé, tant dans sa richesse mélodique que dans sa profondeur ; à ce moment précis, il a compris qu’il avait enfin trouvé mon instrument. Depuis, il n’a eu de cesse de faire des recherches pour le faire évoluer vers plus d’harmoniques, un son plus fluide, plus de résonance…
Le Cosmicbow est avant tout un instrument de connexion et la qualité du jeu vient avant tout du cœur qu’on y met. Plus on se donne, plus il sonne, plus on s’abandonne, plus il vibre… Il est à la fois insondable et très complexe, car en perpétuelle évolution…
Scène Cèdres à 20h00
France
Austraal, est un groupe à la croisée des musiques tribales, orientales et actuelles. Sa formation atypique nous permet d’emmener le public à la découverte d’un continent musical inexploré, celui de l’Austraal. Cette Atlantide musicale est suspendue dans le temps entre les sonorités millénaires du didgeridoo, le charme envoûtant du Saz, la chaleur de la trompette et la puissance d’une batterie électro-acoustique.
Scène Cèdres à 17h15
France

uRYa est un passeur d’émotions. Sa musique, venue des hauts plateaux de Mongolie, nous transporte comme un vol magique au cœur des steppes, auprès des peuples nomades.
Voix de gorge et violon cheval, tambour chamanique et guimbarde se confondent pour nous faire entendre le chant de la rivière, le galop de chevaux et le pépiement des oiseaux. Ces paysages sonores nous racontent les grands espaces, le feu, le froid, les hommes, les âmes et les chamanes. Puissante et émouvante, intemporelle et universelle, la musique d’uRYa nous replace au cœur d’une nature rude, sauvage et belle.
Ambassadeur de la culture mongole en France, Michel Abraham, le « français mongol » comme il est appelé par ses pairs dans le pays des steppes, a créé le projet uRYa en 2011 pour partager sa passion.
uRYa signifie « l’appel de la nature » en vieux mongol, cette nature qui a justement inspiré la création du violon cheval et des chants de gorge.
Scène Platanes à 18h30
France
“Raïdho” est une association d’êtres qui tire son essence du métissage entre des inspirations musicales ancestrales et modernes.
A travers l’utilisation d’instruments ethniques, ils proposent des sonorités dansantes et organiques comme une invitation au voyage, de la Mongolie à l’Afrique, en passant par l’Australie et l’Amérique du Sud.
Chacun de ses membres amène des sonorités issues de ses expériences de voyage. L’axe vibratoire principal est le didgeridoo, accompagné de flûtes et percussions du monde, voix (chants diphoniques et gutturaux), guimbarde, handpan, mandoline…
Scène Platane à 16h15
Espagne

Chus, Tomás et Brais se connaissent depuis plusieurs années. Arpentant les rues de Saint Jacques de Compostelle, c’est tout naturellement qu’ils se sont unis, portés par leur amour de la musique.
Avec le temps et après de nombreuses rencontres et d’improvisations musicales, ils décidèrent de fonder Djang Dharma.
Ce groupe est la fusion de trois instruments élémentaires : le sitar d’Inde, le didgeridoo des Aborigènes d’Australie et le très contemporain hang de Suisse. Mais les percussions et le chant harmonique ont également leur place dans les compositions de Djang Dharma. De cette alchimie musicale, naissent rencontres et concerts, avec une volonté de provoquer des émotions et de faire vibrer l’auditoire au son de la musique.
Scène Cèdre à 17h30
Israël

“Depuis un bon moment, j’offrais des fraises lors de raves ou de festival « nature ». Sur ma tête un chapeau de fraise, sur mon dos une cape fraise, dans une main un didgeridoo, dans l’autre ma barquette de fraises.
Tout le monde disait que j’étais fou mais cela m’a rendu encore plus passionné. Dès lors, je pris la décision de devenir cet exemple de personne qui a suivi sa passion jusqu’au bout.
A 20 ans, je me suis dit « pourquoi s’arrêter là ? » Alors j’ai continué à distribuer des fraises dans la rue tout en jouant du didgeridoo. Je me suis tellement amusé et j’ai gagné tellement d’argent que j’ai quitté mon emploi de serveur et je suis devenu le « strawberry man ».

Depuis, j’ai joué partout dans le monde, accumulant plus de 3000 heures de scène, mais aussi en jouant dans les rues, dans des salons, des fêtes ou de grands festivals.
En Australie, j’eus l’honneur de séjourner chez les Aborigènes. Ils m’ont parlé des origines du didgeridoo. A cette époque, je vivais avec le patriarche de la tribu Yolngu : Djalu Guruwiwi. Il m’a adopté comme un frère et c’est avec sa bénédiction que je suis reparti parcourir le monde pour répandre mon message.”