Depuis 2011 Adèle & Zalem s’éclatent à faire de la musique actuelle avec uniquement deux didgeridoo. Ce concept les a amené à jouer à travers le monde pour partager leur vibration. En 2023, après une pause de quelques années, et après moultes expérimentations sonores, ils décident de revisiter leurs morceaux pour les rendre plus mélodiques et plus percutants. Le nouveau “AZ” c’est toujours l’expression de deux didgeridoo survitaminés, mais aux côtés d’autres instruments qui risquent fort de vous faire danser !
Chant diphonique touva de Mongolie. Tsengel, dernier village à l’ouest de la Mongolie.
Dans les contreforts reculés du haut Altaï, Batsükh Dorj perpétue le Khöömei dans sa communauté. Il maîtrise à merveille les différents styles diphoniques typiques des Touvas : Khöömei (chant diphonique pressé), Sygyt (chant diphonique sifflé), Kargyraa (chant diphonique profond), Ezenggileer (lit. « étriers »), et Borbangnadyr (lit. « roulant »). Il nous chante sa culture nomade à travers montagnes et voyages, en imitant notamment les rythmes des chevaux et l’écoulement de l’eau. Un artiste rare et entier : luthier, il maîtrise son propre son ; et compositeur, il apporte une contribution majeure à sa tradition.
Nouvel album : « Ögbyelyerimgye ayan » (Music For My Ancestors), avec Johanni Curtet, sortie de l’album en 2023 (Routes Nomades/Buda Musique).
Une autre émanation du projet d’Anthologie du Khöömii mongol.
N.B : Batsükh est un personnage du film « Voyage en Diphonie » que nous vous proposons en projection.
Khöömii signifie chant diphonique.
Khusugtun est l’un des groupes de Khöömii et chants de gorge les plus en vogue en Mongolie depuis 10 ans.
Synonyme de « nomades », leur nom représente leur envie de nomadiser en musique, à l’image de leurs ancêtres qui parcouraient le monde.
Dès ses débuts, le groupe caractérisait son style par des airs mélodieux destinés à purifier les gens du stress ambiant du 21e siècle. Une musique destinée à libérer les gens de leurs soucis quotidiens, par le lien fort avec la nature.
Grâce à un niveau d’interprétation hors pair, leur puissante musique remplie de grands espaces nous fait du bien.
Leur dernier album « Jangar » sortir en 2020 est une émanation de notre projet d’Anthologie du Khöömii mongol.
Originaire d’Argentine, c’est en 2001, à Barcelone, que Agustina rentre en contact avec le didgeridoo.
Une grande envie musicale, émerge de façon définitive dans un jeu qui évolue très rapidement.
Le fait de jouer avec des musiciens très variés lui a donné la connaissance musicale nécessaire pour développer un style qui lui appartient.
Durant ces années de travail, elle a réalisé plusieurs enregistrements ainsi que collaboré avec d’autres artistes.
Entre 2006 et fin 2017, elle a vécu à Paris. Cela lui a permit d’ouvrir les portes de plusieurs festivals en Europe et de réaliser de nombreux concerts, stages et workshop, gagnant sa place dans le milieu du didgeridoo.
À la fin de 2017, elle retourne dans son pays natal, où elle vit à présent, développant un projet de construction écologique.
Sorel Eta et Coreen Robeldo
Artistes Aka
(Voix, Moudoumein, Mbela)
Pays :
Congo
Descriptif :
Moaka na ndima ou l’Homme et la Forêt est un voyage dans les profondeurs de la forêt équatoriale à la découverte des peuples autochtones aka et de leur mode de vie menacé de disparition.
Ce spectacle, d’une durée de soixante minutes, invite non seulement les spectateurs à effectuer une plongée dans l’histoire, mais aussi à une rencontre entre les artistes aka et le tandem Sorel Eta et Coreen Robeldo en vue de promouvoir le dialogue culturel.
Moaka na ndima c’est premièrement la découverte des voix étonnantes des peuples de la forêt qui s’apparentent au yodle des Alpes et de leur patrimoine à travers une variété de formules rythmiques évoquant soit des moments de joie, soit des moments de peine.
Moaka na ndima c’est encore l’expression des mélodies envoûtantes des cordophones tels que la «harpe-cithare» (moudoumein) et «l’arc à bouche» (mbela) instrument ayant l’étonnante singularité d’également servir pour la chasse.
A travers un répertoire diversifié, les musiciens du groupe Ndima entendent donner un aperçu assez représentatif de leur musique et de leur tradition.
Trois voyajoueuses concoctent leurs potions poétiques épicées, saveurs récoltées çà et là sur les chemins inspirations au clair de lune et à la lueur du feu.
Depuis les forêts, les quartiers, les contrées de France ou d’Amérique latine, en passant par les lagons de Polynésie et les RéCITS de traversées clandestineS…
Un univers où se mélangent les voix, les langues, les couleurs tribales et féeriques.
Une guitare, un accordéon, des flûtes, des percussions… douceur enivrante et chaleur chaloupée, explosive y ‘picante’!
Du reggae aux influences du brésil, d’irlande en aventures, de la cumbia au hip hop, un bon cocktail métissé où le rêve s’infuse a la réalité !
Forward Kwenda, grand maître du mbira du Zimbabwe :
Originaire de Buhera au Zimbabwe, région connue pour sa résistance aux dirigeants coloniaux
et son respect des traditions shona, Forward a commencé à jouer de la musique très jeune,
en débutant par le “ngoma” (tambour) et le “hosho” (hochet traditionnel).
Au début de son adolescence, il fût informé qu’il devait consacrer sa vie à jouer de la mbira
pour les esprits des ancêtres : il est le « Svikiro ».
Lors des cérémonies de possession, il est réputé pour sa faculté rare à invoquer
les esprits désirés dés la fin du premier morceau qu’il exécute.
Dans le milieu des années 80, Forward jouait déjà dans un style incroyablement complexe,
à la grande surprise des plus grands maîtres plus âgés.
Sa virtuosité et son art de l’improvisation lui valurent le surnom de « John Coltrane de la Mbira ».
En 1997, il effectua une tournée aux États-Unis lors de laquelle il enregistra l’album
« Svikiro : Méditations d’un maître de la Mbira » qui eu un retentissement international.
En 2018, Forward Kwenda a collaboré avec deux de ses élèves Shiho Manabe (Japon) et Yann Dubois (France).
Ils ont enregistré au Zimbabwe l’album “Chawapiwa” qui fut présenté à Harare en mars 2019 puis à Paris lors d’un concert en décembre 2019.
Une version vinyle a été produite par Nyami Nyami Records.
Ils seront de nouveau réunis en Europe en juillet 2023 pour présenter leur nouveau spectacle.
Voyageant des falaises de la Bretagne magique aux volcans de l’Auvergne sautillante, des plaines de la Terre du Milieu aux hauteurs des danses méditatives, Amaury Le Barde utilise de nombreuses Guimbardes, accompagnés de percussions de pied pour revisiter le répertoire traditionnel de plusieurs pays d’Europe, et au-delà.
Goompi – Opossum « Australian Possum » (Chef de troupe, Chant, Claves), Baigin – Eucalyptus à écorce filandreuse « Stringybark » (Didgeridoo, Chant), Boonow – Eucalyptus à bois de sang « Bloodwood » (Didgeridoo, Chant), Wahwoon & Wahwong – Talégalle & Cathéture de Latham « Bush Turkeys » (Danseuses) Murruwiri – Rocher sacré au large de la péninsule de Gove (Pisteur, Traducteur)
Pays :
Australie
Descriptif :
Bundjalung Kunjiel est une troupe de danse aborigène venant de la Gold Coast
(Queensland) et de Tweed Heads (Nouvelle-Galles du Sud), sur la côte est Australienne.
La région est connue à l’origine comme la terre tribale Kombumerri et Minjungbal de la nation Bundjalung.
Les membres de la troupe sont soit traditionnellement originaires de cette région, soit y sont nés et ont grandi sur place.
Goompi Ugerabah a formé la troupe en 2009 après avoir dansé pendant plus de 11 ans avec les Nunukal Kunjiel, ses « pères tribaux », de la tribu Nunukal de l’île de Stradbroke.
La troupe Bundjalung Kunjiel représente régulièrement sa communauté avec leurs chants et danses lors de nombreuses réunions familiales aborigènes et autres événements publics et privés. Ils ont également voyagé dans de nombreux pays à travers le monde.